Le 17 novembre 2020, lors de la présentation à l’Assemblée Nationale du projet de loi dite “Sécurité Globale” par LREM, un rassemblement Place Edouard Hériot rassembla 2 000 personnes pour protester : la coordination #StopLoiSécuritéGlobale était née.
Le 24 novembre, seuls 104 député.e.s sur 577 s’y opposèrent.
Le 28 novembre, pour la première marche des libertés, un demi-million de personnes étaient dans les rues, à travers tout le territoire, pour refuser ce nouvel arsenal liberticide. Malgré une répression toujours plus importante, les journées d’action se sont enchaînées.
Grâce à cette mobilisation, nous avons obtenu de premiers reculs du gouvernement, mais la bataille doit se poursuivre. Le 16 mars prochain, nous, organisations de la société civile, syndicats de journalistes, associations de défense des droits humains, collectifs de sans-papiers, d’exilé.e.s, d’étudiant.e.s, d’universitaires, comités de familles de victimes des violences policières, Gilets Jaunes... comptons sur votre présence pour un nouveau rendez-vous majeur : le passage au vote de la loi au Sénat.
Refusons le fichage systématique qui vise à museler toute énergie contestataire et toute pensée critique !
Refusons ce panoptique géant où la police nous observe en permanence à travers ses drones et ses caméras piétons mais où le peuple n’aurait plus de droit de regard sur elle !
Refusons les techniques de maintien de l’ordre qui blessent, mutilent et tuent !
#StopLoiSécuritéGlobale #StopViolencesPolicières #MarcheDesLibertés